On le comprend en lisant nos posts consacrés à la réussite d’une veille concurrentielle, mettre en place une veille est un investissement important, aussi bien en temps qu’en expertise, d’un bout à l’autre de la chaîne, de la création du dispositif technique à son exploitation, sans même parler de l’achat d’outils ou de plateformes de veille.
Or, on oublie souvent que la finalité d’un tel investissement est avant tout et surtout dans le produit qui en résulte, à savoir un ensemble d’informations, un « livrable de veille », destiné à permettre à l’entreprise ou l’organisation de décider et de se différencier dans son environnement concurrentiel. Le livrable de veille est finalement la seule partie émergée de l’iceberg, la seule pièce tangible qui valorise réellement l’énorme travail que représente la veille – et en final le veilleur ou le service de veille. Et il va falloir particulièrement soigner cette phase.
Etrangement, dans tous les retours d’expérience qui nous parviennent, nous constatons que c’est la phase la moins formalisée.
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Source : Le blog de FLA Consultants – FLA Consultants
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